lundi 4 juillet 2016

35- 4 juillet

Journée, presque, sans pluie.
Hier, nous avons réglé l'écartement des vis platinées et des bougies de la Traction.
Ce matin, la voiture tourne moins bien, a des ratés à l'accélération à faible régime, aie. On verra plus tard.
Nous avons donc décidé de parcourir, un peu, Copenhague. Visiter serait un bien grand mot pour ces quelques heures passées en ville.
Au camping, se pose la question: "comment y aller" en évitant , bien sûr, de prendre la voiture.
Nous avons le choix, prendre le train, 20 minutes de trajet, ou prendre le bus, 40 minutes de trajet.
Nous prenons donc les voitures et après maints tours et détours dans le centre ville, un parking couvert de grande surface d'où nous ressortons immédiatement, enfin des places le long d'un trottoir, bizarre, en effet, l 'horodateur n'est pas loin. 10 minutes pour comprendre le fonctionnement de l'appareil, au bout d'une heure et demi, nous sommes garés.
 Bien sûr, la première visite est pour la "Petite Sirène". Chemin faisant, un centre urbain plein de charme, sûrement d'anciennes "cités Ouvrières".


 Beaucoup de monde, rien d'extraordinaire, mais nous ne pouvions pas passer à Copenhague sans passer la voir.



Déjeuner comme d'habitude, lunch, comme ils disent ici, repas simple, un seul plat mais il y a tout dedans. 
 Nous continuons la promenade vers "Nyhavn" brochettes de vieux gréements figés pour l'éternité le long d'un canal du 17° siècle. rendez vous incontournable, où a longuement séjourné Andersen.


Beaucoup de monde sur les quais, un temps magnifique, les immeubles resplendissent sous le soleil.
Endroit réputé pour ses glaces, et connaissant Christian, qu'avons nous fait?






Vers 16 h, nous reprenons la route vers Odense, Lors d'un arrêt, Jacques suggère de débrancher le tuyau d'avance à dépression du distributeur...et ça marche? une soupape grillée en supplément. Mais ça roule toujours.
Nous repassons le pont de "10 km" qui nous rattache au continent.



Enfin nous arrivons, camping agréable bien agencé. petites scènes de nos soirées quotidiennes.





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